Le colonel Abdoulaye Aziz Ndao a déjà fini de purger, vendredi, ses 60 jours d’arrêt de rigueur que lui ont infligés ses supérieurs hiérarchiques après la sortie de ses deux livres sur la gendarmerie nationale. « Je ne regrette rien. Je me sens très bien, la conscience tranquille», a-t-il confié à ses proches, rapporte « L’As». Il ajoute qu’il assume tout ce qu’il a fait et n’a nullement l’intention de se dérober. Ce qui importe à ses yeux est que l’enquête aille jusqu’au bout.