Le mouton coûte cher et c’est encore une fois le pauvre goorgorlu
(débrouillard) qui va casquer fort, jusqu’à puiser dans la tirelire.
Prix inaccessibles en cette veille de tabaski où les spéculations autour
du mouton, ont entraîné une hausse du coût, lequel risque de sacrifier
des ménages aux revenus modestes. Goorgorlu a du souci…
Source:: Sénéweb