« Si on cherche à bafouer nos droits, nous nous défendrons sans état d’âme. Le gouvernement avait été dépassé, l’année dernière, par des mouvements au sein de l’éducation. C’est pourquoi le Premier ministre, Mahamad Boun Abddallah Dionne, avait pris son courage à deux mains pour rencontrer les syndicats d’enseignants», ont rappelé les enseignants membres du Grand cadre des syndicats de l’enseignement, qui comptent sonner la mobilisation, dès février prochain, pour le respect des engagements pris avec l’Etat.