By Cheikh Makhfouz Diop pour lutter contre le radicalisme des jeunes en banlieue, il faudrait que les autorités trouvent des solutions aux problèmes de chômage, de la précarité et de la pauvreté. Mais aussi adopter un système d’éducation adéquat et inclusif. C’est du moins ce qui est sorti de la rencontre des membres de Timbuktu Institute qui ont réalisé une étude sur les facteurs de radicalisation chez les jeunes de la grande banlieue dakaroise. Ces études menée auprès de 300 jeunes âgés entre 18 et 35 ans dans les localités de Pikine Guediawaye , Keur Massar , Tivaouane Peulh entre autres, ont révélé que  » l’Etat est même cité comme responsable de la radicalisation des jeune et leurs engagement dans les groupe terroristes de par son incapacité à réduire le chômage et la pauvreté ainsi que de mettre en place un système inclusif. Conscient de cela, le directeur de cet institut’ Bakary Samb  » la précarité dans laquelle vivent les jeunes ainsi que le chômage endémique pourraient expliquer une telle opinion. continuant 36%des jeunes interrogés se déclarent sans-emplois pendant que dans le lot de ceux ce qui se réclament travailleurs indépendants (23%) figurent nécessairement de nombreux cas dont l’activité économique réelle ne peut ne peut être clairement cernée.  » cela explique naturellement le fait que les facteurs socio économiques aient pris le dessus lors qu’il s’est agi d’analyser les facteurs de radicalisation des jeunes  » , a-t-il fait savoir à LeQuotidien.