Le patron de la Ligue des droits humains, Assane Dioma Ndiaye, dit ne pas comprendre l’attitude de l’Etat du Sénégal. “Il faut regretter qu’au moment où les enseignants consentent à surseoir temporairement à leurs prétentions financières suite aux appels répétés de tous les segments de la société et afin de ne pas compromettre le droit à l’éducation des jeunes Sénégalais, que l’État du Sénégal procède, de façon ostentatoire, à des hausses de salaires et d’indemnités en faveur d’autres corps considérés sans doute comme étant plus vitaux pour la nation et sans qu’aucune urgence ne soit alléguée”, déclare l’avocat.